Extrait :
"Les jours passent et le soleil continu de se lever et de se coucher.
Les jours passent et les couleurs qui colorent le ciel ne cessent jamais de m'épater, de m'éblouir,
Les jours passent et je ne suis jamais lasse de te regarder toi, mon si beau ciel du sud qui change tous les jours.
[...]
Et puis, parce que j'ai vécu sans, parce que fut un temps je m'en étais "detoxifié" parce que je préfère graver en un battement de cils mes plus beaux souvenirs et que je ne pense plus forcément à sortir le téléphone pour tout immortaliser.
Pour être franche je trouve cela triste parfois tous ces gens qui ont au bout de leur main greffé ce petit objet et qui finalement ne se voient pas.
Parce qu'après tout avant on faisait sans et ce n'était pas moins bien, pas forcément mieux non plus.
Peut être que l'on se remettait plus facilement en question, peut être que c'était chouette de se parler, de s'excuser. Peut être qu'il y a des regards qui en disent longs...
À la quantité préférer toujours la qualité.
Je pense bien à toi, [...]
Mais s'il y a bien quelque chose qui ne change pas contrairement à ce ciel de fin d'été, au soleil qui se lève et se couche, à la lune toujours si belle quelque soit sa phase et à mes fées qui ne cesseront jamais de m'épater, c'est que vous êtes [...] en un battement de cils, et plus encore, si proches et gravé(e)s à jamais dans mon cœur.
Parce que quand j'aime c'est pour toujours [...].
(Mais si vous me connaissez vraiment je n'avais, je l'espère, pas besoin de le rappeler...).
À suivre....
Pensées sans filtre ni retouche (comme d'hab') @elodivague
Nous croyons regarder la nature et c'est la nature qui nous regarde et nous imprègne.
Photographie @elodivague sans filtre ni retouche